Alors qu'en Suisse romande, l'apprentissage précoce de l'allemand est de plus en plus valorisé, nos compatriotes alémaniques tendent, eux de plus en plus à reporter l'enseignement du français à l'école obligatoire.
Il est temps que le Conseil fédéral prenne ses responsabilités. Car c'est bien notre cohésion nationale à long terme qui est en jeu. Dès lundi, j'interviendrais au Parlement sur ce sujet, aux côtés de Damien Cottier.